Après des études de chant et de théâtre dans les Conservatoires parisiens, Clémence affectionne les rôles de La Poupée – Les contes d’Hoffmann, Offenbach, Zerlina – Don Giovanni de Mozart, ou encore Belinda – Didon et Enée, Purcell et chante dans des lieux tels que l’Abbaye aux Dames de Saintes, l’Espace Cardin (Paris), le Théâtre de Cambrai, le Petit Louvre à Avignon et sur la scène du Théâtre du Châtelet…
Elle joue dans le spectacle « L’hiver approche », pour la Fondation Abbé Pierre – France 3 Télévision et est invitée à se produire pour des événements tels que le Concert pour le Forum International des Femmes, organisé par l’Assemblée Nationale. Elle participe à des spectacles avec de nombreuses personnalités : Léonard Ganvert, Romain Dumas, Thierry Boulanger, Philippe Alègre, Thierry Garin, Philippe Barbey-Lallia, Catherine Dune, Didier Henry, Alexander Boldachev, Manon Savary…
On peut l’entendre régulièrement dans les grandes églises parisiennes : St Sulpice , St Germain des Prés (Soprano solo du Requiem de Mozart, Petite messe solennelle de Rossini – dir JC Dunand, JM Puissant). Dernièrement elle incarnait la pétillante Blondchen dans L’enlèvement au sérail de Mozart pour le festival Labeaume en musiques (dir: Philippe Forget).
Parallèlement à des études d’Art Dramatique, Matthieu Justine étudie le chant à Paris avant de se perfectionner auprès de Laurent Naouri. Il participe à l’Opéra de Nancy aux Master class de Ludovic Tézier, et plus récemment celles de Neil Schicoff à Paris.
Il se produit sur les scènes du Théâtre des Champs-Élysées (Almaviva – Il Barbiere di Siviglia , Nemorino – l’Elisir d’amore) de l’Opéra de Rouen, Marseille (Le Barbier de Séville, Pomme d’Api), Avignon (Madama Butterfly), Limoges (La Traviata), Toulon, Nice (Pomme d’Api), Montpellier, de la Seine Musicale (Selva Morale de Monteverdi), du Zénith d’Orléans (Tamino – Die Zauberflöte), ainsi que dans des festivals comme les Chorégies d’Orange (Nemorino en tournée d’été 2021 et 22), Musikfest Bremen (La Traviata), festival de Pâques d’Aix-en-Provence (Jeanne au bûcher de Honneger), Opéra des Landes (Pâris), Labeaume en Musiques (Belmonte dans l’Enlèvement au Sérail – Mozart), Musique à Groix. La saison 2022/23, il fait ses débuts dans le rôle d’Alfredo (La Traviata – Verdi) à l’Opéra de Reims, puis Clermont-Ferrand, et en tournée dans toute la France.
Prochainement, il sera Piet (Le Grand Macabre de Ligeti) à Radio France – dir F-X Roth, Facio (Fantasio d’Offenbach) à l’Opéra Comique – dir L. Campellone – m.e.s. Thomas Jolly, Belmonte (Die Entführung aus dem Serail) à l’Opéra de Clermont Ferrand et à l’Opéra Reims, Tamino (La Flûte Enchantée – Mozart) en tournée, production de l’Opéra National du Capitole.
L’EDIFICE /
Une église existait déjà au XIe siècle. L’édifice actuel, reconstruit après 1197, est achevé aux XVIe et XVIIe siècles (nef, chapelles latérales et clocher). Il présente un plan en croix latine à transept non saillant. La tour du clocher, élevée en partie en 1682, s’élève au-dessus du vaisseau central. La façade occidentale est percée d’un portail de style flamboyant sous une grande verrière à remplage.
L’église abrite le tombeau de Pierre II de Launoy, baron de Dampierre, mort le 8 février 1522. Le tombeau, réalisé en calcaire, a été restauré. Il se trouvait autrefois soit dans le chœur de l'église, soit dans le bras nord du transept. Le blason situé à gauche est celui de la famille de Launoy (d'argent à trois lions de sinople, lampassés de gueule, à la bordure engrêlée). Le blason de droite est celui de l’épouse ou de la mère de Pierre II.
L’église compte deux tableaux remarquables. Un épisode de la vie de sainte Véronique, daté du XVIe siècle, et une Transmission des clés à saint Pierre, de Pierre Trémolières, datée de 1725.
La statuaire est également intéressante. Signalons notamment une grande Vierge à l’enfant du XVe, qui provient sans doute de la chapelle du Meix-Allerand, hameau aujourd’hui disparu. Sculpture d’inspiration populaire, elle est creuse et a dû être utilisée comme armoire liturgique.
LE PATRIMOINE VITRE /
Les vitraux sont contemporains de la reconstruction de la nef et datent du premier tiers du XVIe siècle. Plusieurs baies ne présentent que des fragments des années 1500-1520. Deux verrières fragmentaires sont consacrées à la Vie de la Vierge, l'une date du premier quart du XVIe siècle, l'autre des années 1530.
D’autres verrières sont posées après 1550 dans les chapelles orientales. Endommagées par un orage en 1782, elles ont été remplacées à la fin du XIXe siècle par des figures de saints (baies 7 et 8).
Les vitraux anciens ont été déposés par Gaston Vinum en 1939. Entreposés au Laboratoire de recherche des monuments historiques de Champs-sur-Marne, ils ont été réintégrés en 1978. Quelques restaurations ont été menées en 1984, toujours par l’atelier Vinum.
Après des études de chant et de théâtre dans les Conservatoires parisiens, Clémence affectionne les rôles de La Poupée – Les contes d’Hoffmann, Offenbach, Zerlina – Don Giovanni de Mozart, ou encore Belinda – Didon et Enée, Purcell et chante dans des lieux tels que l’Abbaye aux Dames de Saintes, l’Espace Cardin (Paris), le Théâtre de Cambrai, le Petit Louvre à Avignon et sur la scène du Théâtre du Châtelet…
Elle joue dans le spectacle « L’hiver approche », pour la Fondation Abbé Pierre – France 3 Télévision et est invitée à se produire pour des événements tels que le Concert pour le Forum International des Femmes, organisé par l’Assemblée Nationale. Elle participe à des spectacles avec de nombreuses personnalités : Léonard Ganvert, Romain Dumas, Thierry Boulanger, Philippe Alègre, Thierry Garin, Philippe Barbey-Lallia, Catherine Dune, Didier Henry, Alexander Boldachev, Manon Savary…
On peut l’entendre régulièrement dans les grandes églises parisiennes : St Sulpice , St Germain des Prés (Soprano solo du Requiem de Mozart, Petite messe solennelle de Rossini – dir JC Dunand, JM Puissant). Dernièrement elle incarnait la pétillante Blondchen dans L’enlèvement au sérail de Mozart pour le festival Labeaume en musiques (dir: Philippe Forget).
Parallèlement à des études d’Art Dramatique, Matthieu Justine étudie le chant à Paris avant de se perfectionner auprès de Laurent Naouri. Il participe à l’Opéra de Nancy aux Master class de Ludovic Tézier, et plus récemment celles de Neil Schicoff à Paris.
Il se produit sur les scènes du Théâtre des Champs-Élysées (Almaviva – Il Barbiere di Siviglia , Nemorino – l’Elisir d’amore) de l’Opéra de Rouen, Marseille (Le Barbier de Séville, Pomme d’Api), Avignon (Madama Butterfly), Limoges (La Traviata), Toulon, Nice (Pomme d’Api), Montpellier, de la Seine Musicale (Selva Morale de Monteverdi), du Zénith d’Orléans (Tamino – Die Zauberflöte), ainsi que dans des festivals comme les Chorégies d’Orange (Nemorino en tournée d’été 2021 et 22), Musikfest Bremen (La Traviata), festival de Pâques d’Aix-en-Provence (Jeanne au bûcher de Honneger), Opéra des Landes (Pâris), Labeaume en Musiques (Belmonte dans l’Enlèvement au Sérail – Mozart), Musique à Groix. La saison 2022/23, il fait ses débuts dans le rôle d’Alfredo (La Traviata – Verdi) à l’Opéra de Reims, puis Clermont-Ferrand, et en tournée dans toute la France.
Prochainement, il sera Piet (Le Grand Macabre de Ligeti) à Radio France – dir F-X Roth, Facio (Fantasio d’Offenbach) à l’Opéra Comique – dir L. Campellone – m.e.s. Thomas Jolly, Belmonte (Die Entführung aus dem Serail) à l’Opéra de Clermont Ferrand et à l’Opéra Reims, Tamino (La Flûte Enchantée – Mozart) en tournée, production de l’Opéra National du Capitole.